Pourquoi une page DNS dédiée ?
Résolution fidèle et complète
La page DNS de CaptainDNS interroge les bons serveurs au bon moment. Elle lit les réponses telles qu elles existent vraiment sur Internet. A AAAA CNAME MX TXT NS SOA PTR CAA SVCB HTTPS SRV DS DNSKEY sont pris en charge. Chaque réponse arrive avec son TTL et ses données. Vous voyez ce que sert le serveur autoritaire et ce que renvoient les résolveurs publics. Pas d approximation. Pas de copie locale mal rafraîchie.
Une recherche démarre depuis votre résolveur choisi puis remonte de la racine au TLD puis à l'autoritaire. Cette chaîne explique pourquoi deux lieux donnent parfois des réponses différentes. Un cache encore valide sert l'ancienne valeur. Un autoritaire lent répond avec retard. La page montre ces effets sans jargon. Vous gardez la vue exacte au moment de la requête.
Latence et trace de bout en bout
La vitesse compte autant que la justesse. La page mesure la latence de chaque requête. Elle affiche des temps par résolveur et par région quand c'est pertinent. Une hausse met en lumière un point d'entrée chargé ou une cible éloignée. Vous reliez un ressenti utilisateur à un chiffre simple. Vous savez où agir.
La trace itérative complète l'analyse. Elle détaille chaque saut de la résolution. Racine. TLD. Autoritaire. Vous repérez un serveur lent un time out ponctuel ou une valeur servie de façon inégale. La trace sert de preuve lors d'un échange avec un fournisseur. Elle évite les débats sans fin. Vous partez de faits observés.
Exploiter les outils du module DNS
Résolveurs publics et propagation
Comparer plusieurs résolveurs aide à lire la fameuse propagation. Le système ne propage rien au sens strict. Il met en cache selon le TTL. Tant que le délai n'est pas écoulé certains résolveurs gardent l'ancienne réponse. La page DNS interroge des acteurs connus comme Google Cloudflare Quad9 OpenDNS ou un résolveur de FAI. Elle peut aussi questionner le serveur autoritaire. Vous voyez le présent tel qu'il est perçu depuis divers points du réseau.
Cette comparaison évite bien des surprises. Vous préparez une bascule. Vous réduisez le TTL quelques heures avant. Vous modifiez l'enregistrement le moment venu. Vous suivez ensuite l'apparition de la nouvelle valeur sur plusieurs résolveurs. Vous savez quand communiquer. Vous ne restez pas dans l'attente sans repère clair.
Historique API et vérifications ciblées
Garder une trace change la donne. La page mémorise les recherches selon votre choix. Vous retrouvez l'heure la question posée le résolveur utilisé et la réponse servie. Vous prouvez un comportement au lieu de le décrire. Vous comparez avant et après une migration. Vous revenez sur une valeur précise sans fouiller vos captures d'écran.
L'intégration par API arrive pour automatiser les contrôles. L'idée est simple. Rejouer un lookup clé à intervalles réguliers. Valider une zone avant un déploiement. Alerter si le TTL dépasse une limite ou si une valeur critique disparaît. Ces vérifications évitent un incident silencieux. Elles raccourcissent aussi le temps de diagnostic quand un service ralentit.
Recherche DNS et trace approfondie
La recherche DNS reste le cœur du module. Vous ciblez un type d'enregistrement, choisissez le protocole (UDP, TCP ou DoH) et lancez la requête. Le résultat s'affiche avec les champs utiles et le TTL. Pour une adresse IPv6, vous lisez AAAA. Pour la messagerie, vous validez MX et TXT. Pour le web moderne, vous vérifiez SVCB et HTTPS. Pour la sécurité des certificats, vous ouvrez CAA. Tout est au même endroit. Tout suit le même format.
La trace itérative complète l'analyse. Elle remonte la chaîne root → TLD → autoritaire, affiche chaque saut et la latence associée. Idéal pour repérer un serveur lent, comprendre pourquoi un résolveur cache encore l'ancienne réponse ou apporter des preuves tangibles à un fournisseur.
Cas d'usage concrets
Préparer une migration devient prévisible. Vous baissez le TTL la veille. Vous modifiez A ou CNAME à l'heure dite. Vous observez la réponse chez plusieurs résolveurs. Vous remontez le TTL une fois la situation stable. Le suivi de latence vérifie que la nouvelle cible répond dans les temps attendus. Vous coupez l'ancien serveur ensuite. Pas avant.
Diagnostiquer une panne s'appuie sur des preuves simples. La trace montre un autoritaire lent. Le comparatif de résolveurs met en lumière un cache encore valide. Le détail d'un CNAME révèle une cible sans A ni AAAA. Le graphe de latence affiche un pic sur une seule région. Vous contactez le bon prestataire avec les bons éléments. La résolution s'acélère.